Salutations,
Soyons bref et concis (ce qui veut dire que je ne vais pas l'être) :
Je ne crois en rien.
Je n'ai aucune tradition, aucune Eglise, aucune pratique (et l'observation de ces choses me fait la plus part du temps sourire).
Je suis un horrible rationaliste post-moderne (stricto sensu, je suis de l'école néo-positiviste de Feyerabend, mais je dois en être le seul représentant, donc je ne suis ni rationaliste, ni positiviste, mais bon... c'est pas toujours évident).
Mais je crois en ce que Maffesoli a appelé "Instant Eternel", dont l'écho se répercute certainement jusqu'ici (on verra).
D'autres auraient dit "je suis paien, mais je n'ai pas de tradition" (mais comme je ne suis si paien, ni sans tradition...).
En outre, j'ai un métier qui constitue une sorte de pratique ésotérique païenne (je suis postier).
J'ai lu des livres sur... l'Inde, ses religions, son histoire, mais aussi des livres religieux indiens, des livres sur l'histoire des religions, et sur l'étude de l'histoire des religions, sur la science, de sociologie, sur la construction des mythes, des religions, et sur la construction des sciences, sur la kabbale, les kabbalistes, de la kabbale, les nouvelles religions, etc., etc. mais que je peux maintenant résumer avec trois auteurs et trois livres, Eliade ("Le sacré et le profane", comme je dis souvent à mon travail, "let's keep it simple and sexy"), Maffesoli ("l'Instant Eternel"), Feyerabend ("Contre la méthode") et Danielou ("Shiva et Dionysos : la religion de la Nature et de l'Eros, de la préhistoire à l'avenir", parce que j'aime bien les mathématiques, qui furent ma première passion). Je suis aussi allé dans tout un tas de pays... dont l'Inde, qui n'est plus qu'un gros tas de boue informe.
J'écoute une infinité non dénombrable de choses, dont de la dark folk, du dark ambient, et autres joyeusetés du même acabit.
Mon héros dans la littérature, c'est le poête Silenius, le satyre d'Hypérion, pour ceux qui connaissent...
Accessoirement, j'ai deux amies ici, qui m'ont dit "viens, c'est du bon".
Et quand on m'invoque...
Soyons bref et concis (ce qui veut dire que je ne vais pas l'être) :
Je ne crois en rien.
Je n'ai aucune tradition, aucune Eglise, aucune pratique (et l'observation de ces choses me fait la plus part du temps sourire).
Je suis un horrible rationaliste post-moderne (stricto sensu, je suis de l'école néo-positiviste de Feyerabend, mais je dois en être le seul représentant, donc je ne suis ni rationaliste, ni positiviste, mais bon... c'est pas toujours évident).
Mais je crois en ce que Maffesoli a appelé "Instant Eternel", dont l'écho se répercute certainement jusqu'ici (on verra).
D'autres auraient dit "je suis paien, mais je n'ai pas de tradition" (mais comme je ne suis si paien, ni sans tradition...).
En outre, j'ai un métier qui constitue une sorte de pratique ésotérique païenne (je suis postier).
J'ai lu des livres sur... l'Inde, ses religions, son histoire, mais aussi des livres religieux indiens, des livres sur l'histoire des religions, et sur l'étude de l'histoire des religions, sur la science, de sociologie, sur la construction des mythes, des religions, et sur la construction des sciences, sur la kabbale, les kabbalistes, de la kabbale, les nouvelles religions, etc., etc. mais que je peux maintenant résumer avec trois auteurs et trois livres, Eliade ("Le sacré et le profane", comme je dis souvent à mon travail, "let's keep it simple and sexy"), Maffesoli ("l'Instant Eternel"), Feyerabend ("Contre la méthode") et Danielou ("Shiva et Dionysos : la religion de la Nature et de l'Eros, de la préhistoire à l'avenir", parce que j'aime bien les mathématiques, qui furent ma première passion). Je suis aussi allé dans tout un tas de pays... dont l'Inde, qui n'est plus qu'un gros tas de boue informe.
J'écoute une infinité non dénombrable de choses, dont de la dark folk, du dark ambient, et autres joyeusetés du même acabit.
Mon héros dans la littérature, c'est le poête Silenius, le satyre d'Hypérion, pour ceux qui connaissent...
Accessoirement, j'ai deux amies ici, qui m'ont dit "viens, c'est du bon".
Et quand on m'invoque...